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Témoignages

Témoignages

Ils parlent du programme
Un violon dans mon école

La Fondation Vareille a une approche très intéressante de l’enseignement du violon, pour un public qui n’a que trop rarement accès à cet instrument. La qualité des cours, leur dimension collective, l’implication demandée aux enfants, la fourniture de violons de très bonne facture, tout contribue à l’épanouissement et à la stimulation de ces enfants. Les élèves sont impliqués et à l’écoute de leurs camarades. C’est un projet enthousiasmant !

Renaud Capuçon Violoniste

Assurer l’égalité des chances dès la maternelle est une priorité pour l’Éducation nationale. Aujourd’hui, les résultats de la science nous démontrent que l’apprentissage d’un instrument de musique contribue à réduire les inégalités sociales et à limiter le décrochage scolaire, en facilitant l’apprentissage des savoirs fondamentaux et en apportant de la joie et de la fierté aux élèves. Je suis donc particulièrement heureux du programme Un violon dans mon école et de notre partenariat avec la Fondation Vareille. Vive la musique à l’école !

Jean-Michel Blanquer Ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports

Ce projet constitue un levier très puissant puisqu’il montre aux familles concernées qu’elles peuvent avoir de l’ambition et que leurs enfants peuvent accéder à des enseignements qui semblent a priori élitistes. Un violon dans mon école s’inscrit parfaitement dans la politique éducative voulue par l’Éducation nationale, avec 3 priorités : apprentissages fondamentaux, aptitudes socio-comportementales et réduction des inégalités.

Charline Avenel Rectrice de l'Académie de Versailles

Un violon dans mon école : quelle stimulation pour le cerveau de l’enfant en développement ! Goût de l’effort, plaisir de la réussite, ténacité face aux difficultés, connaissance de soi et des autres… La recherche démontre les bénéfices de l’apprentissage précoce de la musique. La Fondation Vareille apporte aux enfants bien plus qu’un instrument : un espoir.

Stanislas Dehaene Membre de l'Académie des sciences, professeur au Collège de France à la chaire de psychologie cognitive expérimentale, Président du Conseil scientifique de l'Éducation nationale

Les enfants qui suivent une activité musicale régulière auront des facilités dans leur développement intellectuel, dans les acquisitions fondamentales qu’ils font à l’école mais également dans les activités sociales. Il est surprenant de remarquer que de telles études, réalisées dès 1992, n’aient pas encore influencé les politiques éducatives. Les neurosciences cognitives n’ont fait, depuis, que confirmer ces conclusions.

Emmanuel Bigand Chercheur en neurosciences cognitives à l’université de Bourgogne, co-auteur de La Symphonie neuronale, Éditions humenSciences

L’an dernier, en début de CP, j’ai été particulièrement surprise du niveau de lecture de mes nouveaux élèves du projet Un violon dans mon école. Ils parvenaient déjà tous à réaliser la fusion syllabique, qui est la base de l’apprentissage de la lecture. Pour la plupart d’entre eux d’ailleurs, la lecture est arrivée vraiment vite dans l’année scolaire. J’ai ressenti par rapport aux années précédentes (sans violon), que les violonistes pouvaient se concentrer davantage et être donc plus efficaces dans les apprentissages.

Une enseignante de CP

J’ai en tête ce père d’élève roumain analphabète, fuyant, qui ne participait jamais à rien avant que son fils ne commence le violon, et qui maintenant ne rate jamais une occasion de discuter avec les enseignants.

Une directrice d’école maternelle

J’apprécie beaucoup l’idée d’un projet collectif : professeurs de violon, élèves, enseignants, tout le monde va dans la même direction et on s’entraide pour y arriver.

Une enseignante de CP